Résultat : tout le monde a oublié qu’on avait failli vomir mardi soir…

Mais attention : derrière les paillettes, c’était une boucherie. La majorité des titres dans le rouge, des obligations qui respirent seulement parce que le marché de l’emploi US fait peur, et Ray Dalio qui sort le défibrillateur pour nous annoncer l’infarctus économique.

👉 Dans ce Morningbull Live, on parle de :

Google, Apple et l’illusion d’optique de Wall Street

Les JOLTS « pourris » qui font jubiler les marchés

L’Europe qui fait semblant d’y croire, l’Asie qui attend Powell

Dalio qui prédit l’apocalypse (encore)

Salesforce et Figma qui prennent des claques - et Conoco qui taille dans le gras...

Moralité : une bouée Google ne suffit pas à calmer la tempête obligataire. Mais tant que Powell est attendu comme le Messie, tout le monde danse encore sur le pont du Titanic.

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Les rendements obligataires explosent, la dette française dérape, les banques tremblent et la politique parisienne ressemble plus à une roulette russe qu’à une gestion budgétaire.

👉 Le vrai danger ? Que la France, avec ses 3,35 trillions d’euros de dette, devienne la mèche qui allume une crise mondiale.
Déficits US, Fed paralysée, inflation qui refuse de mourir, investisseurs en mode panique, Trump qui souffle sur les braises… et au milieu, la France, potentiellement le béret du prochain cygne noir.

Dans cette vidéo, je t’explique :

Pourquoi les taux flambent vraiment (et ce n’est pas juste l’inflation).

Pourquoi la situation française inquiète les marchés comme jamais.

Et comment une crise “locale” pourrait devenir le déclencheur d’un séisme global.

La Bourse n’est pas autonome, elle est esclave des taux. Et si les obligations s’écroulent… le château de cartes tombe.

👉 Abonne-toi à la chaîne, like et commente : est-ce que tu crois que la France peut vraiment être le prochain Lehman Brothers ?

Il reste trois décisions de politique monétaire de la FED d’ici la fin de l’année 2025 et les choix possibles pour la FED sont nombreux mais avec une trajectoire fondamentale très différente. Comment le prix de l’Or peut réagir en fonction des choix possibles de la FED en matière de politique monétaire de fin d’année ? Vincent Ganne fait un point prospectif complet ainsi qu’un point de situation technique sur l’or et l’argent.

Au programme :

Les marchés européens en mode coma artificiel pendant que les Américains profitaient du Labor Day.

La France qui menace de nous rejouer un petit 2011 sauce Bayrou – parce que pourquoi pas.

Et surtout : Nestlé qui mélange sexe et chocolat et vire son CEO plus vite qu’un stagiaire avec un Starbucks.

Mais ce n’est pas tout… Le vrai suspense, il est pour vendredi : les Nonfarm Payrolls. Le Super Bowl de Wall Street, où les traders parient sur des jobs comme au PMU. Un chiffre trop faible ? Champagne, la Fed sera obligée de baisser les taux. Trop solide ? Douche froide, Powell temporise et les marchés font la gueule.

En attendant, l’or flambe, le pétrole grimpe, le Bitcoin frime et l’Asie roupille. Bref : tout le monde attend vendredi comme un premier date Tinder.

👉 Si tu veux suivre l’actu financière avec un peu de sarcasme, beaucoup de vulgarisation et un brin d’humour noir : abonne-toi, like, commente, partage.

À demain pour de nouvelles aventures financières !

✨ L’or, un repère intemporel ? Alors que les marchés vacillent, le métal jaune garde son aura de valeur refuge. Entre tradition, sécurité et nouveaux défis (crypto, ETF, inflation), faut-il encore miser sur le métal jaune en 2025 ? 💰

🎧 Dans cet épisode d’UNLOCKED, découvrez pourquoi l’or fascine toujours, ses paradoxes, et ce qu’il peut encore apporter à un portefeuille moderne. De son rôle face aux banques centrales à son absence de rendement, découvrez pourquoi il intrigue toujours et ce qu’il dit de notre rapport à la finance moderne.
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L’investissement dans des produits financiers tels que des avoirs digitaux et des CFD comporte un niveau de risque élevé.
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🎙 Invité : Ayub Khan – auteur (The Pagoda), fondateur de Presence in Motion et Chairman de MFD Investment Holdings.
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Le marché est obsédé par Powell, Trump, l’emploi, la Fed et l’IA, et oublie l’essentiel : les valorisations sont hors-sol.

👉 14 séances. C’est tout ce qu’il reste avant la décision cruciale du 17 septembre.
👉 Une baisse de 25 points de base, attendue comme le Messie… mais qui pourrait aussi marquer le début des emmerdes.
👉 Entre Trump qui tape sur la Fed, la Chine qui jongle avec ses chiffres et les marchés perchés plus haut que jamais… le mois de septembre promet d’être explosif.

⚠️ Le calme d’aujourd’hui est une illusion. La rentrée boursière, c’est un peu comme aller chez le dentiste : tu sais que tu vas souffrir, tu sais juste pas quand.

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Le mois de septembre est le pire mois de l’indice S&P 500 en terme de saisonnalité et les investisseurs craignent une chute du marché actions US ce mois de septembre alors que les défis fondamentaux ne manquent pas et que le S&P 500 est aussi cher que fin 2021 selon la valorisation boursière. Ce consensus baissier est-il un piège ?

Nvidia, Trump, la Fed, la France, la Chine, l’inflation, et un mois d’août qui se termine dans la fatigue des marchés… Tout est dans ce nouvel épisode !

👉 Cette semaine, on revient sur :

Nvidia : toujours au centre de toutes les conversations (et peut-être trop…)

La Fed : Trump vire Lisa Cook et prépare sa mainmise sur la banque centrale

La France : vote de confiance explosif pour Bayrou, et un CAC40 qui retient son souffle

La Chine : +10% sur le CSI 300 en août, Pékin rallume les moteurs

Europe & Suisse : moral en berne, baromètres en chute libre

USA : inflation, consommation, stagflation-lite et attente fébrile avant Powell

Les droits de douane de Trump : jugés illégaux par la justice américaine – un énorme bras de fer en vue

Stars de la semaine : Novartis, Roche, Swatch et une ribambelle de sociétés suisses

⚡️ En résumé : une fin d’été calme en façade, mais les orages de septembre arrivent… et les marchés n’aiment pas ça.

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Quand le roi dépend de deux chevaliers, ça finit comment ? On décortique l’hyperconcentration côté clients, les leviers de négociation des hyperscalers, le silicon maison (TPU/Trainium/Maia), le risque d’agenda… et pourquoi “très bon” ne suffit plus quand le marché exige le divin.

Je voulais juste vous faire un dernier update à propos de Nvidia et j'arrête jusqu'à la prochaine saison...

Au menu :

Le décor : Nvidia, cœur battant de l’IA… mais cour très petite.

Pourquoi c’est un problème : pouvoir de négociation, timing, marges.

Ce qui peut mal tourner (sans catastrophisme, promis).

La morale : déconcentrer la base clients, diversifier les relais.

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il faut les pulvériser.

Et pendant que Nvidia cale, le S&P 500 explose les records.

Pourquoi ? Parce que tout le monde ne vit plus que pour UNE chose : la baisse des taux en septembre.

Christopher Waller, lui, en profite pour sortir le cirage et faire briller les pompes de Trump, histoire de poser son CV pour remplacer Powell à la Fed. Résultat : le marché danse, mais la musique pourrait s’arrêter ce soir avec le PCE.

👉 Records historiques, Fed transformée en sitcom politique, Trump qui vire à tour de bras, et un mois de septembre qui arrive… ça sent la rentrée explosive.

Et puis si vous voulez vous rendre compte de combien de place ont pris les ETF's dans notre vie.. j'ai fait une vidéo juste là : https://youtu.be/OMcLHYuv9g0?si=0zqAaatOYmGZ5ipn

Et si vous voulez revenir sur les chiffres de Nvidia, la vidéo des résultats est là : https://youtu.be/oXauydGEFkI